collectif de l éthique sur l étiquette

InfoQuimper Éthique sur létiquette le collectif quimpérois dénonce les pratiques de Quimper. Quimper Brest Rennes Lorient Vannes Autres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte Maville. Mon compte Mon espace PRO; Déconnexion par . Info. Accueil Info Info en continu Info Quimper Info Finistère Info Bretagne En France et dans le Monde Insolite Galeries photos info Archives Surle moyen du pourvoi n° G 21-11.959, pris en sa seconde branche Enoncé du moyen 5. Les associations Survie, CRED et NAVODA, CCFD - Terre solidaire, ActionAid France et le Collectif éthique sur l'étiquette font grief à l'arrêt de renvoyer l'affaire devant le tribunal de commerce de Nanterre, alors « que, sauf à CollectifEthique sur l'étiquette. 13,219 likes · 2 talking about this. Le Collectif Éthique sur l'étiquette défend les droits humains au travail dans les chaînes mondialisées de Desréponses et des solutions avec Nayla Ajaltouni, coordinatrice du collectif l'Éthique sur l’étiquette. Passer au contenu principal Accueil; Consommation; Nayla Ajaltouni, Part.1 : « Un T-shirt à 5 euros, ça n’existe pas » # MasterTilt Nayla Ajaltouni, Part.1 : « Un T-shirt à 5 euros, ça n’existe pas » Rédaction Tilt le 15/04/2021 7 min de lecture 🧠 Niveau « Je me Collectiféthique sur l'étiquette COLECOSOL FLORAIN Horaires : Du lundi : 14h-18h30. Du mardi au samedi : 10h -18h30. Fb. Ig. Aller au contenu. Ethiquable. Alimentaire . Vous trouverez aussi au magasin la marque ETHIQUABLE avec notamment la gamme "paysans d'ici, paysans d'ailleurs" Café, thé, chocolat, apéro, jus de fruits Retrouvez les en cliquant ci - dessous. Dans cette nonton film tarung sarung full movie lk21. Le 15 décembre 2021 - La Cour de cassation vient de rendre sa décision dans le cadre de l’affaire opposant le géant pétrolier Total à six associations françaises et ougandaises – les Amis de la Terre France, Survie, AFIEGO, CRED, NAPE et NAVODA -, qui constitue la première action en justice sur le fondement de la loi sur le devoir de vigilance des multinationales. Clôturant près de deux ans de bataille procédurale, la juridiction suprême a donné raison aux associations en rejetant la compétence des tribunaux de commerce [1]. Alors que les violations perdurent et se multiplient sur le terrain, l’affaire va donc retourner en première instance pour être enfin examinée au fond par un tribunal judiciaire. Après une décision du tribunal judiciaire de Nanterre en janvier 2020, qui s’était déclaré incompétent au profit du tribunal de commerce, et sa confirmation en décembre 2020 par la Cour d’appel de Versailles [2], les Amis de la Terre France, Survie et leurs quatre partenaires ougandais avaient décidé début 2021 de se pourvoir en cassation, avec le soutien, sur cette question de la compétence, d’ActionAid France, du CCFD-Terre Solidaire, du Collectif Éthique sur l’étiquette et de la CFDT. Pour les associations, la décision rendue aujourd’hui par la Cour de cassation, donnant compétence au tribunal judiciaire, est une victoire importante. La Cour a tranché en faveur des associations en reconnaissant le “droit d’option” dont celles-ci bénéficient en tant que requérantes non commerçantes [3]. En confiant l’affaire au tribunal judiciaire, cette décision permet de s’inscrire dans l’esprit de la loi sur le devoir de vigilance. En effet, cette loi a pour objectif de rendre les entreprises responsables des impacts de leurs activités sur les tiers que sont les salarié-e-s de ses filiales, fournisseurs et sous-traitants, les communautés locales ou encore l’environnement. Alors que le tribunal de commerce tire sa légitimité de la connaissance du monde des affaires, il s’agit ici d’enjeux externes, de protection des droits humains et de la planète, qui ne peuvent être réduits à un litige purement commercial. De plus, cette décision s’inscrit dans la même logique que l’article adopté il y a peu par le Parlement dans le cadre de la loi sur la Confiance dans l’institution judiciaire - qui sera bientôt promulguée -, donnant dorénavant compétence au tribunal judiciaire de Paris pour toutes les affaires fondées sur la loi sur le devoir de vigilance [4]. Pour Juliette Renaud, des Amis de la Terre France, Nous sommes soulagés par cette décision de la Cour de cassation, qui vient enfin clôturer près de deux longues années de bataille de procédure. Nous sommes cependant très inquiets par les délais que cette question a engendrés pendant ce temps, selon nos enquêtes, plus de 100 000 personnes sont toujours privées totalement ou partiellement de leurs terres et de leurs moyens de subsistance en Ouganda et en Tanzanie [5]. Il y a urgence à agir, et nous espérons que la décision à venir sur le fond permettra d’ordonner à Total de prendre enfin des mesures concrètes pour faire cesser ces violations ». Pour Thomas Bart, de Survie, Cette décision constitue une première victoire dans la longue bataille judiciaire que nous avons engagée contre la multinationale. Nous allons enfin pouvoir nous concentrer sur le fond de l’affaire. Malgré les alertes répétées de la société civile, le projet continue d’avancer à marche forcée sans se soucier de la répression des opposants sur le terrain nos partenaires et les membres de communautés qui osent élever leurs voix contre ce mégaprojet pétrolier font l’objet d’intimidations croissantes et les arrestations arbitraires se multiplient [6] ». Cette décision de la Cour de cassation renvoie l’affaire au tribunal judiciaire de Nanterre, où une audience, portant enfin sur le fond de l’affaire, devrait donc se tenir dans les prochains mois. Contacts presse • Amis de la Terre France Juliette Renaud, +33 6 37 65 56 40, • Survie Thomas Bart, +33 7 70 06 90 53, • ActionAid France- Peuples Solidaires Maelys Orellana, • CCFD-Terre Solidaire Sophie Rebours, + 33 7 61 37 38 65, • Collectif Ethique sur l’étiquette Nayla Ajaltouni, +33 6 62 53 34 56, Notes [1] La décision de la Cour de cassation est disponible ici. [2] Voir le communiqué de nos associations le 10 décembre 2020 “Affaire Total Ouganda la cour d’appel de Versailles renvoie au tribunal de commerce“. Pour en savoir plus sur l’historique de cette action en justice, lire la note des Amis de la Terre et Survie octobre 2020 Total Ouganda – Première action en justice sur le devoir de vigilance des multinationales où en est-on ? [3] Selon le droit d’option, si le requérant est non commerçant, comme c’est le cas de nos associations, il peut choisir de porter un litige contre une société commerciale devant le tribunal judiciaire ou devant le tribunal de commerce. En novembre 2020, ce principe a été réaffirmé par la Cour de cassation dans l’arrêt “Uber”, même dans le cas où le litige avait un lien direct avec la gestion arrêt disponible ici. C’est sur cet arrêt que s’était appuyé le tribunal judiciaire de Nanterre dans l’affaire “Total climat”, également fondée sur la loi sur le devoir de vigilance. [4] Voir le communiqué de nos associations le 21 octobre 2021 Attribution de la compétence à un tribunal judiciaire les parlementaires sauvent l’esprit de la loi sur le devoir de vigilance ! [5] Voir l’enquête des Amis de la Terre France et Survie octobre 2020 Un cauchemar nommé Total - Une multiplication alarmante des violations des droits humains en Ouganda et en Tanzanie. [6] Voir le reportage du Monde, publié le 26 novembre 2021 “En Ouganda, le pétrole de Total impose le silence et la peur”. 0,6 centimes dévolus au salaire des ouvriers de la confection pour la fabrication du maillot de l’équipe d’Allemagne vendu 85 euros, pour un bénéfice net de 24,3 euros pour Adidas ;Un doublement des dividendes pour Nike depuis 2010 et un doublement de ses ventes en 10 ans ;Une augmentation de l’investissement dans le sponsoring qui aurait permis à plus de 165 000 travailleurs vietnamiens et 110 000 travailleurs indonésiens de recevoir un salaire vital ;Un modèle target costing » d’optimisation des coûts de production poussé à outrance qui confine les salaires des ouvriers à une simple variable d’ajustement ;Un désinvestissement progressif de la Chine, dont les salaires minimum rejoignent désormais des niveaux décents, vers des pays offrant une main d’œuvre bradée, malgré des performances économiques sont quelques-uns des principaux enseignements du rapport Anti-jeu » commandité par le Collectif Ethique sur l’étiquette, qui analyse l’impact, pour les travailleurs de leurs chaînes d’approvisionnement, du modèle économique des 3 principaux sponsors des équipes de l’Euro 2016 – Nike, Adidas, Puma...Résultat, les travailleurs de leurs chaînes d’approvisionnement, situés principalement en Asie, touchent des salaires en deçà du minimum nécessaire pour vivre décemment – en deçà d’un salaire vital. En contradiction avec le discours affiché de ces sponsors, qui se positionnent, à force déclarations publiques, comme des acteurs plus responsables que les autres marques du secteur. Chronologie Réponse de Nike Date 14 Jui 2016 Type de contenu Réponse de l'entreprise Réponse de Puma Date 7 Jui 2016 Type de contenu Réponse de l'entreprise Réponse d'adidas Date 7 Jui 2016 Type de contenu Réponse de l'entreprise Euro 2016 quand Nike et Adidas fuient leur responsabilité sociale » pour payer des salaires toujours plus bas Date 6 Jui 2016 Type de contenu Article Anti-jeu – les sponsors laissent les travailleurs sur la touche Date 1 Jui 2016 Type de contenu Rapport Le Collectif Ethique sur l’étiquette lance la campagne Anti-jeu » Et un rapport sur les impacts sociaux du modèle économique de Nike, Adidas et Puma Date 1 Jui 2016 Type de contenu Article Voir la chronologie complète Charger plus Voir moins Travail forcé des Ouïghours "Nous comptons sur l’action citoyenne pour faire pression sur les enseignes"publié le 29/03/2022Nayla Ajaltouni est coordinatrice d'Éthique sur l’étiquette, un collectif qui agit en faveur du respect des droits humains au travail, notamment dans l’industrie textile. Elle nous parle de l'exploitation des Ouïghours, pour la production de coton et la fabrication de vêtements dans la région autonome du Xinjiang, en Chine. Depuis 1995, le collectif Éthique sur l'étiquette agit pour "mondialiser les droits humains au travail", en demandant aux entreprises de veiller aux conditions de production des marchandises qu'elles commercialisent. Le collectif, qui agit aussi en faveur de "la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats", est composé d'associations de solidarité internationale, de syndicats, de mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Nayla Ajaltouni coordonne les campagnes d'Éthique sur l'étiquette. Elle a répondu à nos questions sur le travail forcé des Ouïghours. Quels sont les liens entre l’industrie textile et l’exploitation des Ouïghours ? N. A. Dès 2019, des journalistes et des chercheurs ont documenté le travail forcé des Ouïghours - une minorité turcophone et de religion musulmane, ciblée par Pékin - dans la région autonome ouïghoure du Xinjiang, en Chine. Cette région héberge de nombreuses usines de l’industrie textile, de fabrication de vêtements, mais aussi des champs de coton. Cette région produit environ 20% du coton mondial. En fait, il est possible qu’un vêtement sur 5 dans le monde contienne du coton récolté dans cette région, ou ait été fabriqué dans une usine dans laquelle il y a du travail marques de textile sont concernées ?N. A. C’est très difficile de répondre précisément à cette question. Car il est impossible de mener l’enquête sur place. Un vêtement sur 5, finalement ça concerne énormément de marques... Elles sont liées au travail forcé via leurs sous-traitants chinois. Au sein du collectif Éthique sur l’étiquette, nous ciblons toutes les grandes enseignes d’habillement, comme Nike, Zara, Shein… En France nous avons même décidé de porter plainte, et une enquête a été ouverte contre 4 multinationales de l’habillement Inditex maison mère de Zara, Uniqlo, SMCP propriétaires de Sandro, Maje... et Sketchers chaussures de sport. Ces groupes sont accusés d’être complices de graves crimes. Nous avons pu déposer cette plainte car nous avions suffisamment de preuves concrètes de leurs liens commerciaux avec des unités de production de la région. Le but est d’interpeller et de faire pression sur toutes les plusieurs marques ont déjà nié avoir des liens avec la région, car elles ne regardent que leurs fournisseurs de rang 1. Même si certaines ont déclaré qu’elles allaient couper tout lien avec la région, ça ne veut pas dire qu’elles vont le faire. De son côté, la Chine a appelé au boycott de certaines enseignes. Dans la foulée, Inditex a retiré sa déclaration condamnant le travail forcé, cela montre qu’ils n’ont pas beaucoup de scrupules. H&M par contre a maintenu sa condamnation et n’a pas cédé au chantage. Que peut-on faire en tant que citoyen et consommateur ? N. A. Nous comptons beaucoup sur l’action citoyenne pour interpeller et faire pression sur les enseignes, via les réseaux sociaux par exemple ou en relayant les actions menées par les associations. Nous faisons partie, avec plus de 180 organisations au niveau international, de la "Coalition pour mettre un terme au travail forcé dans la région ouïghoure". Sur le site de la Coalition, il y a une liste d’actions menées en ce moment, et nous avons besoin du soutien des citoyens pour faire connaître ces engagements. Chloé CohenJournaliste engagéeChloé Cohen est journaliste et créatrice du podcast Nouveau Modèle sur la mode responsable. Après 3 années passées à New York comme correspondante, Chloé s’est spécialisée dans les problématiques environnementales et sociales de l’industrie associés à l’article Accueil > Mobilisez-vous > Comment agir ? > Chacun à son niveau Les campagnes passées ont prouvé que la mobilisation citoyenne permet d’obtenir des progrès significatifs en matière de respect des droits humains par des entreprises. Vous aussi, vous pouvez agir à votre niveau. S’informerLes marques et distributeurs manquent souvent de transparence sur l’origine et les conditions dans lesquelles ont été élaborés les produits qu’ils commercialisent. Mais les modes de consommation changent et les citoyens sont de plus en plus vigilants ... S’impliquerAu quotidien, agissez avec le Collectif Éthique sur l’étiquette et faites connaitre ses actions parlez-en autour de vous et participez aux campagnes en signant les pétitions, en relayant les appels urgents, en envoyant les courriers adressés aux ... Consommer autrementSoldes, offres spéciales, nouveaux modèles constants, campagnes publicitaires grandioses les multinationales de l’habillement déploient de nombreux moyens pour nous pousser à consommer toujours plus. La fast fashion a fait de la mode jetable le ... Cet article date de plus de neuf ans. Suite à l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à plus de 1100 employés, des géants de l'habillement ont signé un accord sur la sécurité des usines au Bangladesh. Mais les conditions de travail des ouvriers du textile ne sont pas forcément meilleures ailleurs. Les consommateurs ont le pouvoir de faire évoluer la situation. Article rédigé par Publié le 17/05/2013 0850 Mis à jour le 09/05/2014 2331 Temps de lecture 1 min. Où et dans quelles conditions sont fabriqués les vêtements que nous portons ? Chine, Inde, Cambodge, Bangladesh, la lecture des étiquettes pourrait ressembler à une invitation au voyage... un voyage dans l'enfer d'ateliers insalubres. Au Cambodge, les femmes sont si peu payées qu'elles ne peuvent pas se nourrir correctement, et perdent régulièrement connaissance sur leur lieu de travail. Au Bangladesh, dans des centaines d'usines, les ouvriers du textile, pour répondre à la demande, peuvent travailler jusqu'à 90 heures par semaine, pour des salaires de misère. Depuis près de 20 ans, le Collectif Éthique sur l'étiquette se bat pour que les droits de ses travailleurs soient respectés, et pour qu'ils soient rémunérés décemment. Le Collectif Éthique sur l'étiquette rassemble une vingtaine d'associations et de mouvements de consommateurs . Il appartient est la branche du réseau européen Clean Clothes Campaign. Suite a l'effondrement d'un bâtiment au Bangladesh qui a coûté la vie à des centaines d'ouvriers du textile, et suite à la signature d'une pétition par plus d'un million de consommateurs à travers le monde, la plupart des grandes marques internationales de l'habillement se sont engagées en faveur de la sécurisation des usines. En France Carrefour est la première marque à avoir signé cet accord.

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